Catégorie:Voie:Quai Gustave-ADOR

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Quai Gustave-ADOR

Longueur: 3833 m.
Secteur statistique : Rues-Basses - Longemalle, Pierres-du-Niton, Maison-Royale, La Grange,
Commune : Genève
Pour aller plus loin : Pas de lien



Anciennement Quai des Eaux-Vives. Les candélabres sont de fonte, à motif de griffons (1895-1896) par de Roll (fabricant). voir Birkner 1975, p. 87.

  • 1856 : installation du port marchand.
  • vers 1870 : Quai prolongé jusqu'au brise-lame en amont.
  • 1894-1896 : quai doublé jusqu'à la jetée.
  • 1909 : quai doublé jusqu'au débarcadère des Eaux-Vives
  • 1913 : nouvel aménagement du quai, par Alfred Olivet et Marc Camoletti.
  • 1923-1933 : prolongé jusqu'au Port-Noir avec nouveau débarcadère de Robert Maillard.
  • 1941 : Statue "La Brise", granit d'Henri König.
  • 1980 : Nouvelle extension jusqu'au brise-lame et le Port de la Nautique.

Port Noir

Stèle surmontée d'une ancre, commémorant l'arrivée des tropes fribourgeoises et soleuroises en 1814, de Morsier, architecte, 1896.

Pierre du Niton

Au N du Jardin Anglais, à quelque 20 m de la rive, Pierres du Niton, déjà représentées en 1444 dans « La Pêche miraculeuse » de Conrad Witz, blocs erratiques provenant du massif du Mont-Blanc. Depuis 1838, repère de base du système topographique suisse.

Jet d'Eau

Sur le quai des Eaux-Vives de 1858, inaug. le 2 août 1891. L’idée remonte à l’usine des Forces motrices de la Coulouvrenière et aux expériences de Jean-Daniel Colladon en 1886, qui transforma le jaillissement d’eau de sa soupape de sécurité en « fontaine » lumineuse. L’ing. Théodore Turrettini proposa, en avril 1891, pour le 600e anniver- saire de la Conf. helvétique, de transférer celle-ci dans la rade. Réalisation rapide de l’ing. Constant Butticaz, directeur du Service des eaux, et transf., dès 1894, de la fontaine à cinq jets en unique colonne d’eau dont la hauteur ne cessa d’augmenter pour atteindre successivement 100 m en 1938, 115 m en 1951 (après l’install. de pompes électriques) et 140 m act., avec des pointes à 151 m.

Petit phare

Petit phare reconstr. en 1911, imitation de l’anc. phare du port de Longemalle de 1810.

[1][2]

Numéros

  • Cité dans L'INSA, Inventaire Suisse d'Architecture 1850-1920, volume 4 (1982)
  • mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 790
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