Route du Prieur 44-56

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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 44, 1257 La Croix-de-Rozon

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rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[1] : 1, pour 9.37 mètres.
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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 46, 1257 La Croix-de-Rozon

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rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : 0
étages[2] : 3, pour 9.68 mètres.
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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 48, 1257 La Croix-de-Rozon

Google maps
rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[3] : 3, pour 9.53 mètres.
Carte

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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 50, 1257 La Croix-de-Rozon

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rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[4] : 3, pour 12.92 mètres.
Carte

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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 52, 1257 La Croix-de-Rozon

Google maps
rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[5] : 1, pour 8.26 mètres.
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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 54, 1257 La Croix-de-Rozon

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rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[6] : 2, pour 7.93 mètres.
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Route du Prieur 44-56

Route du Prieur 56, 1257 La Croix-de-Rozon

Google maps
rue: Route du Prieur
secteur : 660500050-Landecy
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[7] : 1, pour 9.84 mètres.
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domaine Micheli correspondant prob. à un fundus romain. Les parties les plus anc. remontent aux XVIe- XVIIe s., mais la reconstr. d’un vaste corps de logis au N des bât. existants fut commandée peu avant 1700 par le propr. de la plus importante manufacture d’affinage d’or et d’argent de Genève, le syndic Pierre Perdriau, et financée par Françoise Calandrini, fille du riche marchand de dorure Jean-Louis Calandrini et jeune épouse d’Ami Perdiau, auquel son père légua le fonds précisément en 1700. La longue façade de neuf axes tournée vers Genève (visible de la route des Hospitaliers), couverte d’un toit à la Mansart, exemple précoce d’architecture class. dans la campagne genevoise, fait référence à l’arch. Pierre Raby. Avant-corps et fronton triangulaire interrompu par la haute baie cintrée du 1er étage devant laquelle s’ouvre un balcon avec doubles colonnes toscanes. A l’intérieur, une seule enfilade de pièces de convivialité communique avec les jardins, coupée par le vestibule et l’escalier d’apparat à garde-corps en fer forgé. Dans le grand salon, boiseries, cheminée, mobilier Louis- XVI et toiles peintes de marines, dont l’une sig. et dat. « Philippe Rey, 1772 », de Marseille. L’anc. corps de logis à l’arrière aligne ses fenêtres sur la cour à l’E. Les dépendances s’ordonnent à partir de là autour de trois cours successives limitées par une enceinte. Dans la troisième cour, remarquable bûcher à toiture brisée, ap. 1723. Les jardins s’ouvrent au N devant la maison seigneuriale. Labyrinthe de buis. Rénov. générale dès 2008.[8][9]
  1. Données fournies en opendata par le site SITG
  2. Données fournies en opendata par le site SITG
  3. Données fournies en opendata par le site SITG
  4. Données fournies en opendata par le site SITG
  5. Données fournies en opendata par le site SITG
  6. Données fournies en opendata par le site SITG
  7. Données fournies en opendata par le site SITG
  8. mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 872
  9. Objet classé du canton de Genève, MS-c149[1]

Partie d'une maison qui recouvre le reste.