Domaine d'Ecogia

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Domaine d'Ecogia

Chemin d'Ecogia 10, 1290 Versoix

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rue: Chemin d'Ecogia
secteur : 664400042-Ecogia
type : Habitation
construction : 1919-1945
étages[1] : 2, pour 9.11 mètres.
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Domaine d'Ecogia

Chemin d'Ecogia 12, 1290 Versoix

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rue: Chemin d'Ecogia
secteur : 664400042-Ecogia
type : Habitation
construction : Avant 1919
étages[2] : 4, pour 20.26 mètres.
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Domaine d'Ecogia

Chemin d'Ecogia 16, 1290 Versoix

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rue: Chemin d'Ecogia
secteur : 664400042-Ecogia
type : Activité
construction : 1919-1945
étages[3] : 3, pour 11.68 mètres.
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Domaine d'Ecogia

Chemin d'Ecogia 20, 1290 Versoix

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rue: Chemin d'Ecogia
secteur : 664400042-Ecogia
type : Mixte: logements/activités ou équipement collectifs
construction : 1919-1945
étages[4] : 2, pour 10 mètres.
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domaine d’Ecogia, anc. fundus romain cité en 1022 comme villa, possession des rois rodolphiens cédée à cette date aux sires de Gex. Développé au XVIIIe s. par la famille Mégard avec deux bât. parallèles d’hab. et grange de part et d’autre d’une cour et une ferme à l’entrée du domaine. Emilie-Marie Mégard, épouse du baron Gabriel Girod de l’Ain, le réorganisa avec son époux dans un esprit class., avec un petit pavillon carré, un important avant-corps à la maison de maître, un péristyle à colonnes toscanes sur la petite façade S-O, une orangerie avec serre, un bassin circulaire dans le jardin entouré de grilles. Au N-E, en contre-bas du chemin d’Ecogia, face à l’entrée du domaine, fontaine monumentale sur la source primitive, qui alimentait au Ier s. un aqueduc romain, érigée en 1824 en forme de pyramide surmontée d’une urne. Devenue veuve, la baronne fit édifier en 1861-62 une petite chapelle funéraire, exceptionnel ensemble néogoth. avec boiseries, peintures et vitraux. Legs philanthropique de la baronne, morte en 1881, Ecogia, qui subit plusieurs agrand., fut successivement un orphelinat cath., une école ménagère, une école privée, enfin un centre d’études de l’Observatoire de Genève et de formation du CICR. Orangerie durement rest. en 2006.[5]
  1. Données fournies en opendata par le site SITG
  2. Données fournies en opendata par le site SITG
  3. Données fournies en opendata par le site SITG
  4. Données fournies en opendata par le site SITG
  5. mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 922