Rue du Vieux-Canal 6
| Rue du Vieux-Canal 6
Rue du Vieux-Canal 6, 1227 Carouge GE | |
|---|---|
| Google maps | |
| rue: | Rue du Vieux-Canal |
| secteur : | 660800040-Vieux-Carouge |
| type : | Habitation |
| construction : | Avant 1919 |
| étages[1] : | 2, pour 9.61 mètres. |
| Carte | |
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| Rue du Vieux-Canal 6
Rue du Vieux-Canal 4, 1227 Carouge GE | |
|---|---|
| Google maps | |
| rue: | Rue du Vieux-Canal |
| secteur : | 660800040-Vieux-Carouge |
| type : | 0 |
| construction : | 0 |
| étages[2] : | |
| Carte | |
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Bâtiment construit vers 1792. La propriété Herpin (1803), Berthier (1863) puis Berthelier (1936) fut probablement construit pour un personnage important (l'Intendant ?). L'ensemble comprend deux bâtiments d'angle à quatre pans (dont l'un a été démoli en 1969) et un bâtiment de liaison. Il est construit sur une voûte en briques recouvrant l'ancien canal de dérivation de la Drize.
Le grand jardin a été détruit lors de la percée du boulevard des Promenades achevée dans les années 1970. Bâtiment classé (MS-c 189).[3]
Ensemble consistant à l'origine en une maison, encadrée de part et d'autre par deux immeubles plus élevés formant pavillons : l'un servait de remise ; l'autre, démoli en 1969, abritait au rez-de-chaussée un moulin pour une huilerie de noix, actionné par le canal de dérivation de la Drize qui passait sous les bâtiments. Les deux édifices conservés sont les derniers témoins de la ligne de maisons basses et d'établissements industriels qui bordaient autrefois les Promenades. Une partie du jardin, dont le verger et plusieurs arbres séculaires, a été amputée en 1970 lors de la prolongation du boulevard des Promenades en direction du Rondeau. Ces bâtiments appartenaient en 1803 à M. Herpin, fondateur de la première faïencerie carougeoise et ont dû être bâtis vers 1790, probablement pour un personnage important, peut-être l'Intendant du Roi de Sardaigne. L'élégance des façades, leur sobriété, le choix d'un vocabulaire néo-classique et d'un toit à quatre pans couronné de poinçons sont des traits caractéristiques de l'esprit des constructions carougeoises de la fin du XVIIIe siècle. Aux XIXe et XXe siècles, maison Berthier puis Berthelier.
(Source: Département des travaux publics et de l'énergie / Service des monuments et des sites. Répertoire des immeubles et objets classés. Chêne-Bourg / Genève : Georg, 1994, pp. 408-409)[4]- ↑ Données fournies en opendata par le site SITG
- ↑ Données fournies en opendata par le site SITG
- ↑ Cité dans "Carouge, ville nouvelle du XVIIIe siècle", page 76
- ↑ Objet classé du canton de Genève, MS-c189[1]
Partie d'une maison qui recouvre le reste.
