Villa Lammermoor : Différence entre versions

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{{Box-batiment|A=Rue de Lausanne 132, 1202 Genève|B=[https://www.google.com/maps/place/46.2218065029536,6.15095546368871 Google maps]|C=[[:Category:Voie:Rue de Lausanne|Rue de Lausanne]][[Category:Voie:Rue de Lausanne]]|D=[[:Category:662131020-Mon-Repos|662131020-Mon-Repos]][[Category:662131020-Mon-Repos]]|E=Equipement collectif|F=1986-1990|G=3, pour 18.14 mètres.||I=46.2218065029536,6.15095546368871}}Immeuble construit en 1892 par F. Gindroz. Domaine légué à la Confédération suisse en 1935 par la veuve Barton. Connue aussi sous le nom de Villa Barton.  
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*Cité dans L'INSA, Inventaire Suisse d'Architecture 1850-1920, volume 4 (1982)[[Category:INSA Inventaire Suisse d'Architecture]][[Category:1892]][[Category:F. Gindroz]]
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Dans le jardin, André et Francis Gaillard construisent une Annexe à l'Institut universitaire des Hautes Etudes Internationales (autorisation demandée en 1959). Programme de salle de conférence (120 places), salle de séminaire (50 places), et 15 chambres d'étudiants. Souci d'intégration paysagère. Programme de petits pavillons de 2 niveaux, disposés à l'écart des chemins. 4 pavillons suivent le même principe : socle de taille réduite et étage en porte-à-faux. Trois pavillons de logements et 1 pavillon pour la salle de conférence et la salle de séminaire. <ref>Cité dans "L'architecture à Genève 1919-1975", volume 2, édité par Infolio, page 546</ref><ref>référencé dans le Guide d'Architecture Suisse, volume 3, étapli par Werk Verlag, page 169</ref>[[Category:Guide d'Architecture Suisse volume 3]]
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Version actuelle datée du 10 septembre 2020 à 21:00

Villa Lammermoor

Rue de Lausanne 132, 1202 Genève

Google maps
rue: Rue de Lausanne
secteur : 662131020-Mon-Repos
type : Equipement collectif
construction : 1986-1990
étages[1] : 3, pour 18.14 mètres.
Carte

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Immeuble construit en 1892 par F. Gindroz. Domaine légué à la Confédération suisse en 1935 par la veuve Barton. Du cottage primitif, baptisé « Lammermoor », imaginé par sir Robert Peel en 1858 avec le concours de l’arch. Francis Gindroz, il ne reste rien après le remaniement complet de 1959 qui a transformé la maison en style victorien néo-élisabéthain pour y abriter l’Institut de hautes études internationales. A l’intérieur, vestige d’un cabinet de toilette fin XVIIIe s. et boiseries de Jean Jaquet provenant de la maison Roux de Chantepou- let. Dans le parc, « La Terre », bronze de James Vibert, 1921.[2][3] Dans le jardin, André et Francis Gaillard construisent une Annexe à l'Institut universitaire des Hautes Etudes Internationales (autorisation demandée en 1959). Programme de salle de conférence (120 places), salle de séminaire (50 places), et 15 chambres d'étudiants. Souci d'intégration paysagère. Programme de petits pavillons de 2 niveaux, disposés à l'écart des chemins. 4 pavillons suivent le même principe : socle de taille réduite et étage en porte-à-faux. Trois pavillons de logements et 1 pavillon pour la salle de conférence et la salle de séminaire. [4][5]
  1. Données fournies en opendata par le site SITG
  2. mentionné dans le Guide artistique de la Suisse, Tome 4a, établi par la Société d'histoire de l'art en Suisse, page 809
  3. Cité dans L'INSA, Inventaire Suisse d'Architecture 1850-1920, volume 4 (1982)
  4. Cité dans "L'architecture à Genève 1919-1975", volume 2, édité par Infolio, page 546
  5. référencé dans le Guide d'Architecture Suisse, volume 3, étapli par Werk Verlag, page 169