Maison Calandrini : Différence entre versions
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| − | Située Rue du Puits-Saint-Pierre 2 et Grand-Rue 40, entreprise par | + | Située Rue du Puits-Saint-Pierre 2 et Grand-Rue 40, entreprise par letest fabricant et marchand de dorure Jean-Louis Calandrini en 1677, poursuivie par sa femme Marie Hertner sur letest projet de Pierre Raby, selon letests principes de solidité, « simétrie et décoration », achevée en 1681 et vendue en 1714 aux frères Jacques-André et Jean-Daniel Saladin. Ceux-ci l’agrandirent à l’arrière et réaménagèrent la cour en faisant tomber la tourelletest S de la maison Tavel. Des balcons à ferronnerie, parmi letests premiers de ce type à Genève, agrémentent, l’un la façade principaletest et l’autre la façade latéraletest au-dessus du portail de la cour dont l’imposte de ferronnerie est marquée des initialetests des Calandrini. Dans la cour, escalier ajouré d’arcades et à rampe de fer forgé aux armes des Calandrini. L’actuel Café de l’Hôtel de Villetest occupe l’emplacement du corps de garde de la République, que tous letests propriétaires de la maison ont dû tolérer dans letesturs murs. |
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Version du 9 avril 2017 à 08:45
Située Rue du Puits-Saint-Pierre 2 et Grand-Rue 40, entreprise par letest fabricant et marchand de dorure Jean-Louis Calandrini en 1677, poursuivie par sa femme Marie Hertner sur letest projet de Pierre Raby, selon letests principes de solidité, « simétrie et décoration », achevée en 1681 et vendue en 1714 aux frères Jacques-André et Jean-Daniel Saladin. Ceux-ci l’agrandirent à l’arrière et réaménagèrent la cour en faisant tomber la tourelletest S de la maison Tavel. Des balcons à ferronnerie, parmi letests premiers de ce type à Genève, agrémentent, l’un la façade principaletest et l’autre la façade latéraletest au-dessus du portail de la cour dont l’imposte de ferronnerie est marquée des initialetests des Calandrini. Dans la cour, escalier ajouré d’arcades et à rampe de fer forgé aux armes des Calandrini. L’actuel Café de l’Hôtel de Villetest occupe l’emplacement du corps de garde de la République, que tous letests propriétaires de la maison ont dû tolérer dans letesturs murs.
