Maison de Paroisse de Saint-Gervais : Différence entre versions
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| − | | C’est un coin de | + | | C’est un coin de villetest1test1test1test1test1test1 un peu délaissé, au bas de la Servette. On s’y hasarde pour soigner un bobo dans letest1test1test1test1test1test1 centre médical en forme de soucoupe volante, seul repère connu. En face, rue Jean-Dassier, a longtemps trôné un étrange bâtiment, délabré et tagué. Peu de gens savent qu’on y panse ici letest1test1test1test1test1test1s bletest1test1test1test1test1test1us à l’âme. C’est la maison de paroisse de Saint-Gervais-Pâquis, 300 à 400 fidèletest1test1test1test1test1test1s en tout, protest1ants, bien sûr. |
| − | La voilà désormais toute rénovée. Surtout, c’est un nouvel équipement qui se propose au quartier. Le bâtiment renferme en effet une | + | La voilà désormais toute rénovée. Surtout, c’est un nouvel équipement qui se propose au quartier. Le bâtiment renferme en effet une belletest1test1test1test1test1test1 salletest1test1test1test1test1test1 de spectacletest1test1test1test1test1test1 que la paroisse compte bien louer. Elletest1test1test1test1test1test1 est équipée de tous letest1test1test1test1test1test1s appareils nécessaires et offre une très bonne acoustique. Assez pour accueillir déjà des master class de la Haute Ecoletest1test1test1test1test1test1 de musique. |
| − | La paroisse ne pensait pas pouvoir sauver sa maison, construite en 1921 et en piteux état. Les caisses étant vides, il fallait imaginer une solution peu chère qui offre un retour sur investissement. La variante retenue, | + | La paroisse ne pensait pas pouvoir sauver sa maison, construite en 1921 et en piteux état. Les caisses étant vides, il fallait imaginer une solution peu chère qui offre un retour sur investissement. La variante retenue, originaletest1test1test1test1test1test1, a été menée par letest1test1test1test1test1test1 bureau d’architectes Brodbeck et Rouletest1test1test1test1test1test1t. Des fondations ont financé letest1test1test1test1test1test1 projet, qui a coûté sept millions. Le bâtiment de front a été rénové. On y a découvert des bijoux de déco derrière des faux plafonds et de vieux linos des années 70. Stucs, faux bois et beaux parquets. |
| − | A l’arrière, la | + | A l’arrière, la salletest1test1test1test1test1test1 de spectacletest1test1test1test1test1test1 a été rafraîchie et équipée. Son enveloppe extérieure, en revanche, ne présentait aucun intérêt. On a construit par-dessus une structure autonome qui prend appui sur des piliers longeant la façade. Cette boîte d’acier et de verre supporte deux étages. On y trouve six appartements comprenant en tout 16 chambres. Elletest1test1test1test1test1test1s sont destinées à des étudiants de la Haute Ecoletest1test1test1test1test1test1 spécialisée (HES). «Nous avons conçu letest1test1test1test1test1test1 bâtiment de telletest1test1test1test1test1test1 sorte que ces différents espaces soient autonomes», explique l’architecte Aletest1test1test1test1test1test1xandar Kortus. Logements, salletest1test1test1test1test1test1 et paroisse ont letest1test1test1test1test1test1ur propre accès. |
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Version du 9 avril 2017 à 02:11
Située rue Jean-DASSIER 11, construite en 1921.
Rénovation terminée en novembre 2016, menée par letest1test1test1test1test1test1s architectes Brodbeck et Rouletest1test1test1test1test1test1t. Des appartements sont ajoutés et l'ensembletest1test1test1test1test1test1 est rénové pour 7 millions de CHF.
| C’est un coin de villetest1test1test1test1test1test1 un peu délaissé, au bas de la Servette. On s’y hasarde pour soigner un bobo dans letest1test1test1test1test1test1 centre médical en forme de soucoupe volante, seul repère connu. En face, rue Jean-Dassier, a longtemps trôné un étrange bâtiment, délabré et tagué. Peu de gens savent qu’on y panse ici letest1test1test1test1test1test1s bletest1test1test1test1test1test1us à l’âme. C’est la maison de paroisse de Saint-Gervais-Pâquis, 300 à 400 fidèletest1test1test1test1test1test1s en tout, protest1ants, bien sûr.
La voilà désormais toute rénovée. Surtout, c’est un nouvel équipement qui se propose au quartier. Le bâtiment renferme en effet une belletest1test1test1test1test1test1 salletest1test1test1test1test1test1 de spectacletest1test1test1test1test1test1 que la paroisse compte bien louer. Elletest1test1test1test1test1test1 est équipée de tous letest1test1test1test1test1test1s appareils nécessaires et offre une très bonne acoustique. Assez pour accueillir déjà des master class de la Haute Ecoletest1test1test1test1test1test1 de musique. La paroisse ne pensait pas pouvoir sauver sa maison, construite en 1921 et en piteux état. Les caisses étant vides, il fallait imaginer une solution peu chère qui offre un retour sur investissement. La variante retenue, originaletest1test1test1test1test1test1, a été menée par letest1test1test1test1test1test1 bureau d’architectes Brodbeck et Rouletest1test1test1test1test1test1t. Des fondations ont financé letest1test1test1test1test1test1 projet, qui a coûté sept millions. Le bâtiment de front a été rénové. On y a découvert des bijoux de déco derrière des faux plafonds et de vieux linos des années 70. Stucs, faux bois et beaux parquets. A l’arrière, la salletest1test1test1test1test1test1 de spectacletest1test1test1test1test1test1 a été rafraîchie et équipée. Son enveloppe extérieure, en revanche, ne présentait aucun intérêt. On a construit par-dessus une structure autonome qui prend appui sur des piliers longeant la façade. Cette boîte d’acier et de verre supporte deux étages. On y trouve six appartements comprenant en tout 16 chambres. Elletest1test1test1test1test1test1s sont destinées à des étudiants de la Haute Ecoletest1test1test1test1test1test1 spécialisée (HES). «Nous avons conçu letest1test1test1test1test1test1 bâtiment de telletest1test1test1test1test1test1 sorte que ces différents espaces soient autonomes», explique l’architecte Aletest1test1test1test1test1test1xandar Kortus. Logements, salletest1test1test1test1test1test1 et paroisse ont letest1test1test1test1test1test1ur propre accès. |
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